Je ne vois que le dos
Et la nuque en sueur
Mais jamais le visage
De l' étranger qui trace
Des sillons dans mes nuits
Des fenêtres
Aux emmêlements des forêts
Puisqu' ainsi tu me veux
J' irai déshabillée
Sous ma robe d' écume
A l' instant où les corps
Ne seront qu' une vague
Je t' apprendrai
A tutoyer les nues
Loin du sang caillé
Des regrets
et vous les tutoyez si bien :)
RépondreSupprimerOh, merci Vincent :)
RépondreSupprimerJe ne saurais mieux dire que Vincent...
RépondreSupprimerA ne pas confondre, ce Vincent-ci, avec Vincent votre lecteur de la première heure de ce blog... :)
.. j' avoue que je m' y perds aussi, d' autant plus qu' ils sont également adorables ! :)
RépondreSupprimerMerci Michèle :)
Le sang caillé des regrets emporté par les vagues qui habillent les rêves ...
RépondreSupprimerTrès beau texte !
Un goût que même les vagues n' arrivent pas toujours à faire passer...
RépondreSupprimerMerci à vous :)