Ce sont les yeux qui guident les étoiles. Le roi endormi, mage des rêves, reste immobile. La matière noire de la nuit s'estompe, fendue par le coup de merlin des paupières qui s'ouvrent au sourire accueillant le jour, au sourire du jour penché, aux mots attendus.
Je ne suis pas une lectrice de poésie, en ce sens qu'il n'y a pas de nécessité pour moi à en lire. Je le regrette mais c'est ainsi. Malgré cela, sans beaucoup de références donc, j'ai le sentiment que vos poèmes Agnès sont uniques, neufs, nés comme par miracles successifs (c'est une mécréante qui vous dit cela).. Et ce sentiment de joie à vous lire est celui ressenti face à chaque grand texte, à chaque écrivain qu'on aime lire. Parce qu'il vous apporte un regard inédit, une musique jamais entendue et qui est celle dont on avait besoin.
Ainsi donc, Agnès, depuis le 10 août 2011 que vous publiez sur ce blogue, voici Au sang de l'endormi, qui s'ajoute à vos autres séries (que j'essaie de donner dans l'ordre en partant de la 1ère publiée) :
La place / Derrière les volets clos / Le brouillon / Naître / Esquive / Solo / Coques (tableau[x]) / Bergère / Mer (bribes...) / Quatre saisons et plus / Mort nuit / Village. Portrait / Qui / Blues / Enfances / Chemins de nuit / Jardins clos, mers intérieures / Mémoires ascendantes / Exil / Secret des tombes / Impressions. Paysages minuscules / Secret des îles / Secret des berges / Au sang de l'endormi...
Ce sont les yeux qui guident les étoiles. Le roi endormi, mage des rêves, reste immobile. La matière noire de la nuit s'estompe, fendue par le coup de merlin des paupières qui s'ouvrent au sourire accueillant le jour, au sourire du jour penché, aux mots attendus.
RépondreSupprimerLe coup de merlin d' un enchanteur, alors.. :)
SupprimerAh, on n'est pas de taille, après cela....
RépondreSupprimerMais si, bien sûr.. la taille idéale :)
SupprimerJe ne suis pas une lectrice de poésie, en ce sens qu'il n'y a pas de nécessité pour moi à en lire. Je le regrette mais c'est ainsi.
RépondreSupprimerMalgré cela, sans beaucoup de références donc, j'ai le sentiment que vos poèmes Agnès sont uniques, neufs, nés comme par miracles successifs (c'est une mécréante qui vous dit cela)..
Et ce sentiment de joie à vous lire est celui ressenti face à chaque grand texte, à chaque écrivain qu'on aime lire. Parce qu'il vous apporte un regard inédit, une musique jamais entendue et qui est celle dont on avait besoin.
Le sentiment de joie, je l' éprouve aussi Michèle, en lisant vos mots..
SupprimerJ' ai beaucoup de chance d' être lue par des yeux neufs.
Merci..
Ainsi donc, Agnès, depuis le 10 août 2011 que vous publiez sur ce blogue, voici Au sang de l'endormi, qui s'ajoute à vos autres séries (que j'essaie de donner dans l'ordre en partant de la 1ère publiée) :
RépondreSupprimerLa place / Derrière les volets clos / Le brouillon / Naître / Esquive / Solo / Coques (tableau[x]) / Bergère / Mer (bribes...) / Quatre saisons et plus / Mort nuit / Village. Portrait / Qui / Blues / Enfances / Chemins de nuit / Jardins clos, mers intérieures / Mémoires ascendantes / Exil / Secret des tombes / Impressions. Paysages minuscules / Secret des îles / Secret des berges / Au sang de l'endormi...
Je ne nomme pas vos poèmes "hors séries" :)
Quelle matière à offrir au monde, Agnès !