Dès lors, de ce côté des eaux
Le coeur est de chaux vive et la chair un verger
Et tout se mêle et s' enfle
Au piétinement cuisant
Des manades
Les yeux se font sauvages
Hérissés d' impatience
Tandis qu' un chant ultime
( cri stellé d' entrailles et de fièvre )
Rend la vague
Au jusant
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